On a testé le paddle
Lézarder au soleil c’est bien, mais parfois on a besoin de bouger un peu.
On ressort alors les incontournables raquettes de plage.
Et on passe plus de temps à s’excuser d’avoir envoyé la balle sur la serviette du Monsieur qu’à taper dedans. Du coup on se lasse et on essaye de trouver une autre activité : le stand up paddle ou « SUP » pour les intimes.
Croyez-moi je sais de quoi je parle, j’en ai fait une fois ! Une vraie pro…
Le paddle c’est donc une planche sur laquelle on se met debout, et une pagaie qui nous permet d’avancer sur les flots et de se faire des abdos aussi béton que ceux de Madonna.
Ça c’est la théorie.
En pratique ce n’est pas aussi simple…
La difficulté arrive dès le départ : monter gracieusement sur la planche. Sans un minimum d’abdos et de biscotos, se hisser sur la planche ressemble davantage à l’avancée d’un phoque sur la banquise. Sexitude zéro.
On y arrive quand même et on se met à genoux au centre de la planche, position préconisée pour les débutants. On essaye d’aller le plus droit possible en pagayant et on reste fière quand un gamin de 10 ans nous dépasse debout sur sa planche avec une facilité déconcertante.
Après 30 minutes, on se dit qu’avec plus de pratique (et de muscles) le paddle ça devrait être assez sympa et que finalement les raquettes de plage c’est cool.