La thérapie du sourire
Définition de la cyclothymie par Yves Simon :
« Il n’y a aucune plaie sur leurs corps, ni de sang aux commissures de leurs bouches. Leurs visages sont clairs, nets, et leurs regards intenses. Ils semblent plein de vie, avides de beautés, de voyages, de douceurs. Leur souffrance est ailleurs. Pas non plus dissimulée à l’intérieur d’un organe vital et leur cœur bat à un rythme régulier, celui des sportifs, mais sans emballement excessif. Un mal, vague. Comme un vêtement trop lâche ou trop étriqué qui les gêne à certains moments, au dernier, lorsqu’il s’agit de s’asseoir ou de courir. Un mal de l’extérieur qui révèle un mal obscur enfoui à l’intérieur. Des bouffées invisibles rôdent autour d’eux et font alterner rires et effondrements. »
Petits ou gros malheurs, sautes d’humeur ou pathologie avérée, comme Ptit Biscuit dans Ally Mc Beal, j’opte pour la thérapie du sourire (ou du lâcher-prise) dès que l’occasion se présente.
Je ne pense pas aux plus grands malheurs du monde, car Non, le malheur des uns n’a jamais fait mon bonheur… je pense tout simplement au fait de « sourire ».
Et si cela ne marche toujours pas, je fredonne et pense à l’irrésistible chorégraphie :
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22 août 2011 at 9 h 56 min
[…] malheureusement ça risque de revenir. Il y a des moments comme ça dans la vie où, en plus de la thérapie du sourire, on fredonne « Don’t worry be […]